
3 questions à Jonathan Salmon,
SG de la CAPEB IDF,
Nouvel adhérent du Cedap
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? vos missions et votre activité ?
Je suis Jonathan Salmon, Secrétaire Général de la CAPEB Île-de-France. C’est le syndicat patronal pour les entreprises du bâtiment en IDF.
Je coordonne les grandes orientations de notre structure, j’anime le dialogue social au niveau régional et professionnel, et je veille à ce que nos actions soient utiles, concrètes et proches des réalités de terrain.
Je suis également impliqué dans la formation, notamment en paritarisme auprès des jeunes élus de notre organisation. Cela me donne l'occasion de transmettre cette culture et d'enrichir une réflexion plus globale au plus près des territoires français. Par ailleurs, je partage mon expérience en négociation BtoB complexe avec des étudiants en commerce.
Ce que j’aime dans mon métier, c’est d’être à la croisée du politique, de l’humain et de l’économique.
Cela fait plus de 20 ans que je suis Secrétaire Général. J’ai commencé dans l’interprofession à la CGPME Meurthe-et-Moselle (aujourd’hui CPME) comme commercial puis Secrétaire Général. J’ai ensuite intégré la fédération SCOP BTP en 2007 sur la grande région EST : Lorraine, Alsace, Franche-Comté et la Bourgogne. Et en 2017, j’ai rejoint la CAPEB IDF.
J'ai toujours été convaincu que les organisations professionnelles étaient un pilier fondamental de notre démocratie économique. Ce parcours complet est un atout précieux que je souhaite mettre au service du CEDAP.
Qu’est ce qui a motivé votre adhésion au Cedap ?
C’est d’abord le besoin de sortir un peu de l’isolement qu’on peut connaître dans nos fonctions, et de pouvoir échanger avec des personnes qui partagent des responsabilités similaires.
Le Cedap, c’est à la fois un lieu de ressources, d’échanges vrais, et un réseau qui permet de prendre du recul.
Et puis, j’ai toujours pensé qu’il fallait aussi “militer” pour nos fonctions, et que défendre les organisations professionnelles, c’est défendre la démocratie sociale. Le Cedap joue ce rôle-là, et j’ai eu envie d’y prendre part.
Pour vous, être membre du Cedap, ça signifie quoi ?
Faire partie d’une communauté de dirigeants qui partagent des valeurs d’engagement, d’efficacité, mais aussi de solidarité.
C’est pouvoir échanger sans filtre, apprendre des autres, et aussi transmettre ce qu’on a appris.
Et puis c’est une forme de reconnaissance aussi : on sort de la solitude de nos postes pour rejoindre un collectif qui fait progresser la fonction dans son ensemble.